Self défense personnelle:
A différence entre vous en sortir ou faire la une des journaux du lendemain pourrait bien ne tenir qu'à la façon dont vous serez préparé à affronter une situation dangereuse.
Apprenez ces techniques simples, afin de savoir vous défendre avant et pendant une attaque, qu'il s'agisse d'une bagarre ou d'une embuscade et assurez ainsi votre sécurité.
Pas besoin d'être Jean-Claude Van Damme ou Chuck Norris pour vous protéger des méchants !
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Protégez votre visage. Si l'agresseur essaye de vous donner un coup de poing ou de vous attaquer au visage, placez vos mains sur votre front afin d'esquiver les coups et gardez vos bras proches de votre corps. Vous donneriez alors l'impression d'être dans une position de faiblesse et cela amènera votre agresseur à baisser sa garde. De plus, cette position vous permettra de protéger votre visage et vos côtes, deux endroits fragiles.
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Tenez-vous bien stable. Placez vos pieds légèrement en diagonale, dans une position similaire à celles des arts martiaux. Vous aurez ainsi moins de chances d'être renversé par votre adversaire.
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C'est en restant debout que vous aurez le plus de chances de gagner une bagarre et de vous en sortir. Évitez à tout prix de vous laisser renverser au sol
3. Évaluez votre agresseur. Regardez ses mains. S'il était sur le point de vous attaquer avec ses mains, celles-ci seront en évidence. Cependant, si les mains de l'agresseur cachent une arme, il les gardera sur les côtés de son corps.
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Si vous êtes attaqué par une personne armée d'un couteau ou d'un pistolet, évitez toute confrontation et échappez-vous. S'il vous est impossible d'éviter la bagarre, vous devez mettre un terme à la confrontation de façon brusque, puis courir chercher du secours.
4. Préférez toujours vous enfuir. À moins que votre agresseur ne le rende impossible, vous enfuir sera toujours l'option la plus sure. Si vous pouvez éviter une bagarre, évitez-la et partez en courant.
Attaquez aux yeux et au nez. Si vous devez mettre un terme à la confrontation le plus rapidement possible en frappant en premier, frappez fort et autant de fois que possible, puis courez chercher de l'aide. Lorsqu'un agresseur vous coince dans une ruelle, ce n'est pas le moment de chercher à se battre avec honorabilité. Évitez d'être blessé en mettant un terme à la bagarre aussi rapidement que possible. Les yeux et le nez sont les points les plus sensibles du visage et vous pourrez les frapper avec vos coudes, vos genoux et votre front.
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Avec la partie la plus dure de votre front, juste en dessous des cheveux, essayez de frapper le nez de votre agresseur en tendant votre cou et en amenant votre front juste au milieu de son visage. Il s'agit de la façon la plus rapide et la plus inattendue de mettre un terme définitif à une bagarre. Car même si votre agresseur est fort, violent ou expérimenté, il lui sera difficile de se remettre rapidement d'un coup dans le nez.
Frappez ou attrapez l'entrejambe d'un agresseur mâle. Pour neutraliser rapidement votre agresseur, frappez son entrejambe avec votre genou ou attrapez cette partie de son anatomie et tournez-la entre vos mains. Encore une fois, ce n'est pas le moment de s'inquiéter d'être vicieux. Si votre vie est en danger, attaquez à l'entrejambe.
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Si après ce coup votre agresseur se pli en deux, vous pourriez lui donner un coup de pied dans le nez afin de vous assurer qu'il est hors d'état de nuire pour le moment.
Utilisez vos talons. Lorsqu'un imbécile vous attaque par-derrière, il est fort probable que ses bras soient placés autour de la partie supérieure de votre corps. Si vous avez des chaussures à talon, cette technique peut être particulièrement efficace. Déplacez un pied vers l'ennemi puis soulevez votre jambe avant d'écraser le pied du vilain avec votre talon aussi fort que vous le pouvez. Si votre agresseur vous lâche, courez. S'il ne bronche pas, passez à l'étape suivante de cet article.
Attaquez aux genoux. Si, par exemple, votre agresseur vous étrangle ou a ses mains au niveau de votre visage, attaquez-le aux jambes afin de pouvoir vous échapper ou vous défendre. Cette technique sera tout particulièrement efficace si votre agresseur est beaucoup plus imposant que vous et vous y parviendrez facilement depuis votre position de défense.
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Frappez dans les tibias et dans les genoux, comme vous tacleriez au football, au lieu de simplement marcher sur les pieds de votre agresseur. Ces coups seront rapides et douloureux. De plus, si ses jambes sont suffisamment proches de vous, vous pourrez frapper son entrejambe avec votre genou ou son nerf fémoral ( dans l'intérieur de la jambe). Vous pourriez ainsi anéantir votre agresseur, car 5 à 6 kilos de pression suffisent à casser un genou.
Continuez à vous défendre. Essayez de mettre vos doigts dans les yeux de votre agresseur. Personne ne peut se défendre de ce type d'attaque, quelle que soit la taille de l'agresseur. En frappant l'agresseur sur les oreilles, vous pourriez également l'étourdir ou même faire éclater ses tympans.
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Dans certains cas, vous pourriez aussi attaquer l'agresseur au cou. Pour étrangler correctement quelqu'un, ne l'attrapez pas au cou à deux mains comme dans les films : placez votre pouce et vos doigts autour de sa trachée (très facile à trouver sur les hommes ayant une pomme d'Adam importante). Appuyez fortement, pincez cette zone et l'agresseur ressentira une douleur violente qui le fera tomber.
Si vous tombez, essayez de tomber sur votre agresseur. Évitez à tout prix d'amener la bagarre au sol, mais si vous n'avez pas le choix, utilisez votre poids à votre avantage. Alors que vous tombez, arrangez-vous pour diriger vos genoux ou vos coudes vers l'entrejambe, les côtes ou le cou de votre agresseur.
Si votre agresseur est armé, sachez vous positionner en fonction du type d'arme. Si votre agresseur est armé d'un couteau, essayez de rester hors d'atteinte. S'il est armé d'un pistolet, essayez de vous enfuir en courant en zigzag.
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Si vous avez la possibilité de vous enfuir sans danger, faites-le. Assurez-vous que vous êtes suffisamment loin de votre agresseur lorsque vous décidez de vous arrêter.
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Bien souvent, vous pourrez mettre immédiatement un terme à la situation en donnant votre portefeuille à votre agresseur. Il s'agit de la solution la plus sage, en particulier si vous êtes menacé avec un couteau ou un pistolet. Votre vie vaut bien plus que l'argent et les cartes que vous avez sur vous. Jetez votre portefeuille et partez en courant.
Déviez l'attaque. Si l'agresseur tente de vous attraper par-derrière pour vous étrangler, appuyez son avant-bras contre votre clavicule au lieu de chercher à retirer directement le bras, ce qui pourrait être difficile si vous vous battez contre quelqu'un de plus fort que vous. Placez une main au-dessus de son coude, sur son avant-bras et l'autre juste en dessous, de façon à ce que vos mains soient placées de chaque côté du coude. Puis, en un mouvement fort et déterminé, faites tourner votre corps entier, comme si le bras de votre agresseur était une charnière.
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Vous vous déferez ainsi de la prise de votre agresseur et sa tête, ses côtes et ses jambes seront vulnérables à votre contrattaque. Lorsque votre agresseur est derrière vous, ses tibias seront proches de vos jambes et seront alors ensuite faciles à frapper.
Asseyez-vous. Si l'agresseur essaye de vous saisir par-derrière, abaissez-vous rapidement et violemment comme si vous vous laissiez tomber sur un fauteuil. Il sera ainsi plus difficile pour votre adversaire de vous saisir et vous aurez le temps de l'attaquer en frappant ses tibias ou de vous repositionner pour une attaque frontale.
Soyez mesquin. Si l'agresseur essaie de vous étrangler en entourant votre cou de son bras, amenez la plante de votre pied vers l'avant, comme vous le feriez pour frapper dans un ballon et frappez de toutes vos forces juste au-dessus de sa cheville ou dans son entrejambe. Vous pourriez ainsi lui casser la jambe ou obliger l'agresseur à vous lâcher.
Comprenez les différentes étapes d'une bagarre. En vous préparant à chaque étape d'une confrontation, vous pourrez souvent éviter d'en arriver aux mains. Éviter une bagarre devrait être votre objectif principal. Vous devrez donc être raisonnable et mieux évaluer la situation que ne le fait votre adversaire. Les étapes du conflit incluent les points suivants.
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L'escalade. Il s'agit de la dispute initiale, avant que la bagarre n'éclate. Cette dispute pourrait dans un premier temps paraitre innocente, mais peut en fait dégénérer rapidement.
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Les menaces verbales. Il s'agit du moment où des menaces physiques commencent à être formulées : « je vais faire ceci ou cela ».
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Pousser ou tout autre comportement menaçant. Les bagarres commencent généralement non pas par des coups de poing ou de pied, mais par des tentatives d'intimidation ou de petites bousculades. Il est toujours possible, à ce stade, d'éviter une véritable bagarre.
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La bagarre en elle-même. La dispute a cessé et les premiers coups ont volé [2].
Préférez toujours éviter la confrontation, qu'elle soit verbale ou physique. Chaque étape menant à une bagarre est une occasion de mettre un terme à la confrontation. Une étape mènera inévitablement à la suivante, à moins que vous ne décidiez de prendre vos distances. La confrontation physique devrait toujours être votre dernière ligne de défense.
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Pour calmer une dispute qui dégénère, parlez moins fort. Si vous vous calmez vous-même, les machos même les plus violents pourraient rapidement se calmer.
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Si vous êtes coincé par un agresseur, vous devrez faire en sorte que des gens puissent vous voir et vous aider. Vous aurez moins de chances d'être blessé si vous vous trouvez dans une rue passante. La confrontation dégénèrera moins facilement si vous êtes en public.
Évitez de marcher seul. Si vous devez parcourir une longue distance à pied pour rentrer de la gare ou de l'arrêt de métro après le travail, songez à donner rendez-vous à un ami et à rentrer ensemble. Rester en groupe est la façon la plus sure d'éviter ce type de situations.
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Si vous devez rentrer seul, mêlez-vous à un groupe de passants et marchez avec eux. Pas besoin de connaitre les gens pour être en sécurité en leur compagnie.
Armez-vous. selon artcile 122. 5 il est interdit d'utiliser une arma donc je suis contre cela.
Mais dans un autre pays ou la legislation le permet Songez à toujours avoir une bombe lacrymogène ou un spray au poivre sur vous. Les couteaux et les armes à feu sont souvent plus dangereux qu'utiles, car ils pourront être utilisés contre vous si vous ne parvenez pas à les contrôler. Faites preuve d'extrême prudence si vous décidez de vous procurer une arme et assurez-vous d'avoir le permis adéquat et de suivre un cours pour apprendre à vous en servir sans danger. Ne portez jamais une arme illégalement.
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Si vous vivez dans un quartier dangereux et êtes inquiet, songez à suivre un cours d'autodéfense.
LÉGITIME DÉFENSE
l attaque contre laquelle on se défend doit être illégitime : il n’est pas question d’invoquer la légitime défense pour résister à une arrestation par les services de police. Dans ce cas-là on comment soi-même un délit, celui de rébellion.
La riposte doit être nécessaire : ce doit être le seul moyen d’arrêter l’attaque que vous ou la tierce personne subissez. Si la victime peut s’éloigner des lieux pour ne pas subir cette agression, la légitime défense ne pourra être retenue.
La riposte doit être concomitante à l’agression : revenir sur les lieux pour retrouver son agresseur, aller le retrouver plus tard, ou courir après un voleur, ne peuvent constituer des conditions de légitime défense.
La riposte doit être proportionnelle à l’attaque subie : l’homicide ne pourra être excusé que si votre vie était objectivement en danger. L’utilisation d’une arme, même par destination, ne pourra se justifier que contre la menace de violences graves ou une multiplicité d’agresseurs.
DÉFENSE PERSONNELLE
La défense personnelle (en anglais self-défense) est la maîtrise de techniques de combat permettant de faire face à une attaque sans se servir d'une arme. On parle aussi parfois de combat rapproché (close combat). Le terme « autodéfense » a étymologiquement la même signification, mais renvoie plutôt à une défense armée.
la défense personnelle est en premier lieu la gestion de la peur lors d'une agression.
L'enseignement de la défense personnelle est souvent basé sur des arts martiaux ou sports de combat avec toutefois une différence de taille : les arts martiaux, portent une attention particulière au respect de l'adversaire, parfois même nommé « partenaire » ; dans la défense personnelle, le but est de faire cesser l'attaque avant d'être maîtrisé, blessé ou même tué, le plus rapidement possible. S'il y a un respect rigoureux de règles de sécurité pendant l'enseignement et l'entraînement, avec utilisation d'armes factices et port de protections, l'application réelle se fait sans aucun respect de l'attaquant, puisque celui-ci ne respecte pas sa victime.Il faut toutefois souligner que, vis-à-vis de la loi française, la réponse doit être proportionnée à l'attaque, et que l'on ne peut être considéré en légitime défense que si l'on est attaqué en premier.
La défense personnelle s'attache à utiliser au mieux l'environnement et à utiliser les objets qui nous tombent sous la main : ceinture, chaise, bouteille, cendrier…
ne branche d'arbre sur une tentative de saisie
Les enseignements sérieux ne se limitent pas à l'enseignement des techniques de combat, mais concernent aussi à la gestion des situations tendues — éviter l'affrontement par le comportement et la parole — et l'aspect juridique (légitime défense).
Dans les pays où l'État n'arrive pas à endiguer la criminalité et où les citoyens ressentent une forte insécurité, le défense personnelle peut prendre une forme armée, sous la forme de milices civiles ; dans certains cas, ces groupes d'autodéfense sont des bras armés de partis politiques et sont le prétexte de violences politiques.
Efficacité directe et arts martiaux traditionnels :
Les arts martiaux traditionnels ont été développés durant des siècles de guerre, où les combattants étaient réellement confrontés à la mort ; ils sont donc issus d'une longue expérience et ont prouvé leur efficacité.
Ils se sont cependant transformés entre le XVIIe et le XIXe siècle par trois phénomènes :
des périodes de paix, notamment la période Tokugawa au Japon ;
l'arrivée des armes à feu, les corps-à-corps devenant des situations mineures dans les guerres ;
la modernisation des sociétés, s'accompagnant parfois d'un oubli des traditions.
Ainsi, la savate qui était un combat de rue est devenue une boxe bourgeoise, les arts martiaux d'Extrême-Orient se sont détournés de la violence, et l'on est passé du combat à mort à des compétitions sportives régulées.
Or, la préoccupation de la défense personnelle est bien l'efficacité immédiate. À ce titre, les arts martiaux et sports de combats semblent parfois éloignés des situations réelles. Un certain nombre d'experts ont donc décidé de reprendre l'héritage des arts martiaux mais en les retravaillant à partir de situations probables :
en utilisant des protections (casque, coquille, gants) afin de porter des coups réels et d'habituer les pratiquants à la violence des attaques ;
en utilisant des armes factices (couteaux en mousse, faux pistolets) ressemblant aux armes réelles afin d'apprendre à gérer le stress, la peur.
Pratiques que nous qualifierons « d'applicatives ».
Toutefois, la pratique d'arts martiaux traditionnels reste souvent la base nécessaire de l'enseignement :Certaines personnes continuent toutefois à opposer les techniques de défense personnelle dites « modernes » aux arts martiaux dits « traditionnels », arguant que les derniers se sont éloignés de la réalité. Dans un certain nombre de cas, il s'agit d'un argument commercial, d'une manière de promouvoir sa propre pratique avec des arguments du type « j'ai conservé le meilleur de la tradition pour rechercher l'efficacité maximale » ; par ailleurs, les mouvements traditionnels souvent ont été soigneusement étudiés, et leur modification, même si elle semble mener vers une plus grande efficacité, peut au contraire mettre le pratiquant en danger lors d'une application réelle.
Nous avons donc trois types de pratiques :
Les pratiques hygiénistes/éducatives basées sur le respect et le travail sur soi, comme les arts martiaux chinois dits « internes » (taiji quan, qi gong) et les budo traditionnels (aïkido, judo kodokan, karatedo shotokan, karaté shinkudo), qui permettent de travailler les principes fondamentaux comme la gestion de la distance de sécurité, l'équilibre, la direction d'attaque ;
Les sports de combat (boxes, karaté de compétition, tae kwon do, ju-jitsu…), qui permettent de travailler l'endurance à la fatigue et à la douleur, la rapidité, la gestion de la surprise ; cependant, du fait de la présence de règles, on assiste fréquemment à des situations peu réalistes comme des distances trop courtes (tous les coups n'étant pas permis) ;
les pratiques applicatives, centrées sur les simulations de situations réelles (wingtsun, close combat, Krav maga, Kajukenbo, kali, systema, tinju ryu, jeet kune do, Goshin~Jitsu et de nombreux cours portant simplement le nom de self-defense).
La notion d'efficacité doit aussi s'aborder dans la notion de diffusion vers le public. Les sports de combat et les pratiques applicatives peuvent sembler plus efficaces, mais vont rebuter de nombreuses personnes en raison de la peur de la douleur, du sentiment d'échec, de l'effort physique réclamé. Une personne pratiquant un art « doux » sera certes moins préparée à la violence d'une attaque réelle qu'une personne pratiquant un art « dur », mais elle sera mieux préparée qu'un non-pratiquant. Lors d'une agression, elle gérera mieux les distances, tombera sans se faire mal (évitant d'ajouter la blessure de la chute à celles des coups) et se mettra en boule durant le tabassage, là où un non pratiquant sera plus gravement atteint. La personne aura donc mieux préservé son intégrité physique et psychologique, l'art « doux » aura donc été efficace.
Enfin, certains spécialistes dénoncent dans des articles des méthodes irréalistes dans des enseignements modernes et applicatifs, comme des erreurs dans la position des pieds, pouvant induire une position instable, ou un désarmement d'une personne armée d'un pistolet dans lequel on ne saisirait que l'arme et pas la main.
Intelligence défense personnelle:
L'intelligence de la self défense est une pratique interdisciplinaire, sur les techniques et la capacité à préserver son intégrité, quelque soit l'agression.
1/ Pratique et recherche ( Simulations / Gestion du stress )
2/ Technique de différent style moderne et ancien
3/ Capacité à préserver son intégrité
4/ Système moderne de protection
5/ Cadre de la Légitime défense
6/ Optimalisation de la méthode
7/ Gestions des conflits
8/ Comment réagir face à une prise otage et des kamikazes
Les techniques:
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Verbales : pour renforcer sa capacité à dire non et à poser ses limites au quotidien physiques : des mouvements simples et directement efficaces, adaptés à la morphologie de chacune, sans condition d’âge ni entraînement physique particulier. Un travail actif, pratique et immédiatement efficace.
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Pour prendre conscience de sa propre force
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Pour renforcer la confiance en soi
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Des moments de réflexion
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Pour partager des réflexions sur l’éducation que nous recevons en tant que personnes
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Les représentations que nous véhiculons,notamment autour de la violence
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Vivre un moment privilégié, avancer ensemble dans la découverte de son pouvoir,dans le respect du rythme de chacun.
Exemple de défense :
Face au couteau.
Dans tous les cas, privilégiez la fuite. Si cela n’est pas possible.
Maîtrisez votre stress et luttez contre l’effet tunnel.
La défense contre une attaque au couteau est très complexe à mettre en place, mais nécessaire pour optimiser les chances de survie
A/ Mentale
Auto-défense mentale est la capacité à entrer dans la mentalité adéquate pour exécuter une technique physique auto-défense. De nombreuses écoles d'arts martiaux et des cours d'autodéfense se concentrent principalement sur la nature physique de l'auto-défense et négligent souvent l'aspect mental. Si vous êtes habile dans les aspects physiques d'une technique défensive, mais manque la force mentale et la ténacité de l'exécuter, vous ne serez pas en mesure d'effectuer - en particulier sous la contrainte.
Environnements contrôlés peuvent pas facilement imiter le stress et l'adrénaline décharge qui se produit lors d'une attaque. Il y a un réel besoin pour être en mesure d'entrer dans la «mentalité de guerrier" correcte si l'on est pour avoir une chance réaliste de survivre à une rencontre potentiellement mortelle. Cet état d'esprit de guerrier est la capacité à se concentrer uniquement sur le succès d'une situation sans se préoccuper des conséquences, même si elles se révèlent fatales dans la poursuite dédié de votre résultat souhaité.
La capacité d'aller sur, sous, autour ou à travers tout obstacle est l'essence même de cet état d'esprit "ne jamais abandonner" - similaire à celle du samouraï du Japon. L'auto-préservation est un facteur de motivation très puissant et il est essentiel de veiller à ce que l'on a la force mentale et la mentalité appropriée pour sortir vainqueur dans une rencontre avec un ou plusieurs
attaquants / agresseurs
B/ Prévention
Être au courant et d'éviter les situations potentiellement dangereuses est une technique utile de l'auto-défense. Les attaquants vont sélectionner généralement victimes qu'ils sentent qu'ils ont un avantage contre, comme une plus grande taille physique, la supériorité numérique ou la sobriété contre l'intoxication. En outre, toute embuscade situation place intrinsèquement le défenseur dans un grand inconvénient de l'initiative. Ces facteurs rendent la lutte pour vaincre un attaquant peu probable de réussir. Quand il est impossible, on a souvent une meilleure chance de se battre pour échapper.
Comprendre la «mentalité» d'un attaquant potentiel est essentiel si nous voulons éviter ou échapper à une situation potentiellement mortelle. Rester en sécurité dans toutes les villes dans le monde exige un esprit alerte. Un esprit qui est à l'écoute des dangers et des menaces potentielles. Bien sûr, nous devons former nos corps dans les compétences de combat et des techniques d'auto-défense pour être en mesure de traiter avec des individus violents. Mais, tout d'abord nous devons nous renforcer avec une netteté intellectuelle qui nous permet de percevoir une menace potentielle puis retirer nous-mêmes et nos proches de cette menace.
C/Désescalade:
Est défini comme utilisant ses mots pour prévenir, de désamorcer, ou mettre fin à une tentative d'agression.
Il est un moyen d'utiliser des mots comme armes ou comme bouclier. Ce genre de «gestion des conflits» est l'utilisation de la voix, le ton et le langage du corps pour calmer une situation potentiellement violente avant que la violence découle effectivement. Cela implique souvent des techniques telles que prendre un temps d'arrêt, et dévier la conversation à des personnes dans le groupe qui sont moins passionnément impliqué, ou en entrant simplement dans empathique protégée mesure de mieux comprendre l'attaquant.
Auteur définit autodéfense verbale comme disant tout simplement pas à quelqu'un ou à plusieurs reprises refuser une demande ou de dire à quelqu'un qui a violé une frontière de ce que vous voulez, ou elle pourrait entraîner un scénario plus compliqué dans lequel vous êtes appelés à refuser de s'engager verbalement avec quelqu'un manipulatrice, de fixer des limites, et mettre fin à la conversation.
Self-Defense affirme que la légitime défense verbale défend contre les huit types les plus communs de la violence verbale, et redirige et désamorce affrontements verbaux potentiels.
Archer, auteur et formateur de l'Aïkido verbal: l'art de diriger les attaques verbales à un résultat équilibré, propose que la plupart des attaques verbales peuvent être réorientés vers une direction équilibrée ou positive.
D/Alarmes personnelles
Alarmes personnelles sont une façon de pratiquer l'auto-défense passive. Une alarme personnelle est un petit appareil tenu à la main qui émet des sons forts, forts, aigus pour dissuader les attaquants parce que le bruit peut parfois attirer l'attention des passants. Alarmes enfants peuvent fonctionner comme des localisateurs ou alarmes de périphériques tels que pour déclencher une alerte lorsqu'un piscine est utilisée pour aider à prévenir des situations dangereuses en plus d'être un moyen de dissuasion contre les agresseurs.
Règles générales
Tout d'abord, éviter les situations dangereuses (« Le sage ne se trouve jamais sur le lieu du combat »). Le problème est de trouver l'équilibre entre l'inquiétude inutile (« paranoïa ») et l'insouciance rendant vulnérable ; par ailleurs, certains quartiers ont une mauvaise réputation sans qu'il soit dangereux de s'y promener, et l'on peut se faire agresser en plein jour dans un « beau quartier ». Un autre problème avec ce concept est la culpabilisation de la victime : il est tentant a posteriori de donner des leçons et ainsi empirer le traumatisme psychologique.
Quoi qu'il en soit, l'attitude peut en elle-même encourager ou dissuader l'agression :
rester courtois et ne pas répondre aux provocations, et lorsque l'on est face à une personne énervée, laisser passer l'orage sans chercher à avoir raison ;
pour un piéton, choisir sa position par rapport à la chaussée : à l'arrêt, être adossé à un mur pour ne pas se faire agresser (ou voler son téléphone portable) par derrière ; marcher en sens inverse de la circulation en tenant les objets volables côté immeubles, pour éviter les vols à l'arrachée par deux roues ;
Pour l'automobiliste en zone urbaine, rester courtois, verrouiller les portières et éviter de descendre du véhicule en cas d'agression extérieure ;
évidemment, éviter de s'aventurer la nuit dans des zones mal éclairées et mal fréquentées…
L'allure et la démarche (« langage du corps ») peuvent trahir la peur et le manque d'assurance, et faire croire à une victime facile. Pour dégager des signaux dissuasifs, on peut marcher d'un pas assuré en balançant bien les bras, la tête et le regard haut. En croisant des individus « douteux », ne pas rechercher le contact oculaire, mais s'il se produit, ne pas baisser les yeux (indice de peur et de soumission) mais les détourner horizontalement (signal neutre).
Bien que différentes pratiques soient enseignées, elles répondent toutes aux mêmes contraintes, on peut donc tirer quelques règles générales :
« Même si vous agissez de la meilleure manière possible, il y a toujours une possibilité d'échec. L'échec étant ici de se faire blesser ou tuer. Partant de là, il faut distinguer deux situations, selon que la personne faisant usage de la défense personnelle est un quidam ou bien un professionnel de la protection des personnes (policier, vigile, militaire, garde du corps…). Parfois, nous sommes tués, même lorsque nous faisons tout correctement. La vie est différente de ce que nous croyons connaître. En réalité, tout peut arriver et bien que nous ne commettons aucune erreur, quelque chose peut toujours nous surprendre. »
« soyez prêt à être blessé. […] L'objectif [du vétéran expérimenté] est de s'en sortir victorieux avec le moins de lésions possibles et moins graves que celle de son adversaire. »
Les considérations qui suivent se placent dans le cadre d'un quidam.
Les méthodes de défense personnelle montrent des techniques de désarmement, mais le désarmement n'est pas une fin en soi. Ces techniques sont nécessaires si l'assaillant porte effectivement un coup ; mais le but de la défense personnelle est de préserver son intégrité physique :
La seule attitude raisonnable face à un agresseur armé est d'obéir à l'agresseur. En effet, la plupart du temps, l'agresseur montre son arme pour obtenir quelque chose (argent, objet de valeur,...), il n'a pas l'intention de se servir de son arme, celle-ci sert à faire peur. Obéir aux injonctions de l'agresseur permet en général de s'en sortir indemne. Une personne résolue à tuer n'a aucune raison de montrer son arme, elle en ferait usage avant que l'on puisse s'en apercevoir donc réagir (tireur embusqué ou sniper, tueur à gages, règlement de compte dans le milieu du crime organisé…).
« Comprenez bien que si vous voyez l'arme, il est probable que l'agresseur n'ait pas l'intention de tirer sans plus, l'agresseur veut quelque chose. […] Se défendre ou ne pas se défendre. S'il vous demande de l'argent, ne résistez jamais et restez en vie ! Vous ne devez vous battre que lorsque votre vie ou celle de vos proches est en danger. Les cimetières sont remplis de héros. »
Le fait de satisfaire l'agresseur va par ailleurs faire baisser la tension nerveuse, il sera d'autant moins enclin à passer à l'acte, alors qu'une résistance pourrait au contraire l'énerver. Les caissiers et guichetiers sont en général formés à la gestion d'attaques à main armée. Les recommandations sont en général d'obéir et montrant que l'on a compris (« Oui, je vous donne la caisse »), en laissant ses mains apparentes, en faisant des gestes calmes et non ambigus.
Cependant, l'agresseur peut montrer son arme et s'en servir tout de même, par exemple dans le cas d'une personne déséquilibrée mentalement, d'une personne ayant planifié l'homicide (assassinat) mais qui va tarder à passer à l'acte, d'une personne voulant faire peur mais qui elle-même paniquerait et passerait à l'acte… Dans ces cas-là, si malgré les précautions l'agresseur attaque effectivement, le désarmement peut en effet être la meilleure manière de se protéger.
« Si on vous attaque avec une arme blanche, on vous coupera. Les coupures sur les bras et les jambes peuvent être douloureuses, mais en général elles ne sont pas mortelles (Ndlr : sauf si une artère ou une veine importante est touchée ; par ailleurs, certaines blessures ont des conséquences irréparables : douleurs chroniques, perte d'un œil, amputation…). […] Esquivez les coups de couteau et approchez vous et détruisez immédiatement, même si en le faisant, vous risquez de vous blesser au bras ou au visage. »
« [Lorsque l'on est menacé par une arme à feu], si nous réalisons un mouvement rapide, pour [lui] arracher [l'arme] des mains et s'il se trouve que le criminel a le doigt sur la gâchette — ce qui est presque certain — nous pourrons le surprendre en provoquant un mouvement réflexe (l'action involontaire d'appuyer sur la gâchette, dû à la contraction des muscles). »
La fuite est préférable à l'affrontement. Même en cas d'affrontement non armé, il y a toujours un risque d'être blessé ou de mourir, par exemple en raison d'un choc sur la tête, d'une chute, d'un bris de verre, de la présence d'un complice armé, ou tout simplement de l'agresseur qui sortirait une arme jusqu'ici cachée.
balle perdue.
La défense personnelle armée, ou autodéfense, pose donc un problème complexe : dans quelle mesure cette défense n'est pas elle-même un trouble à l'ordre public ? C'est le point de vue des législateurs de nombreux pays démocratiques, dans lesquels la loi limite fortement le port d'arme ; le cas des pays dictatoriaux est moins clair, la possession d'arme par de simples citoyens est souvent interdit pour éviter une rébellion.
De nombreux pays démocratiques considèrent donc que le risque d'agression est moins important que le risque de mortalité si tout le monde possède une arme à feu puisqu'ils limitent fortement le port d'arme, à titre d'exemple[11] :
Dans les pays où le port d'arme est réglementé, seules certaines catégories de personnes sont autorisées à détenir et transporter une arme, en général les forces de l'ordre (mais il existe certaines catégories non armées, comme certains policiers britanniques) et certaines profession à risque, comme le transport et la détention de valeurs (transport de fonds). Les citoyens peuvent en général posséder des armes de collection ou des armes de chasse avec nécessité d'avoir un permis.
L'efficacité de la possession d'une arme repose en fait essentiellement sur la dissuasion : en effet, selon le principe de la légitime défense, l'arme ne peut servir que contre une menace avec arme, donc l'agresseur possède une arme et la pointe vers l'agressé ; le mouvement pour sortir une arme dans ces conditions serait probablement détecté par l'agresseur qui alors ferait usage de son arme[1]. La dissuasion implique que l'agresseur sache, ou suppose, que sa victime potentielle est armée ; s'il décide tout de même de passer à l'acte, il sera donc lui-même systématiquement armé et plus susceptible de faire usage de son arme, voire tentera de neutraliser sa victime dès le début. Il y a donc un risque d'escalade.
1) Le coup de tête
Un grand classique, le crâne étant un des os les plus solides du corps humain, il va sans dire que le coup de tête est l’une des « techniques » les plus employées dans les combats de rue. Votre nez est alors généralement la cible adéquate : il est facilement brisable, saigne abondamment et vous empêchera de respirer correctement, ce qui peut provoquer une panique qui affaiblira votre défense. C’est pourquoi vous devez toujours essayer de mettre de la distance entre vous et votre agresseur. L’autre avantage du coup de tête, c’est qu’il est réalisable avec n’importe quelle partie du crâne, ne vous méfiez pas uniquement du front de votre assaillant.
2) Les pressions sur les yeux
Voilà un geste que nous avons nous-mêmes décrit et qui peut faire de réels dommages. Les yeux sont fragiles, et une fois que votre agresseur aura ses doigts placés dans vos orbites l’issue peut en être très dangereuse. Il faut toujours protéger son visage lors d’une altération. Cela étant établi, lorsque votre adversaire tente ce genre de manœuvre, essayez de ne pas trop paniquer : d’autres endroits de son corps sont alors laissés sans protection (le foie, les côtes, les parties génitales…)
3) Les morsures
Lors d’un combat de rue, on se bat avec ce que l’on a et comme on le peut. Tous les coups étant permis, vous pourrez vous retrouver face à des agresseurs prêts à tout pour vous infliger des dégâts corporels. Certains peuvent tenter de vous mordre. Ça peut paraître risible et puéril comme cela… mais la douleur est intense.
4) Les tirages de cheveux
Et non, les filles n’ont pas l’apanage de cette parade pour immobiliser ou tout du moins ralentir leurs adversaires. En vous tirant les cheveux votre agresseur ouvre votre garde et voit ainsi la portée de ses coups augmenter. Votre visage devient indéfendable et les frappes peuvent alors pleuvoir. Soyez réaliste, si vous ne pensiez pas que cette technique pourtant peu viriles pouvait se matérialiser lors d’un affrontement, vous aviez tort !
5) Les manipulations des parties génitales
Là encore, pas de secret : les parties génitales représentent un des points faibles de l’anatomie masculine. Il n’est donc pas rare qu’on tente de vous attaquer ou de saisir à pleine main votre paquet (en imprégnant une forte pression, ou en tirant dessus) afin de vous faire hurler de douleur et de vous faire abandonner la lutte.
6) Les manipulations des plaies ouvertes
Si votre chaire est entaillée ou que votre adversaire vous a coupé (avec ses poings, sur votre visage par exemple), il y a de fortes chances pour qu’il tente de placer ses doigts dans l’orifice ainsi ouvert. C’est bas, mais cela fonctionne très bien. La douleur déjà vivace, sera renforcée à tel point que vous pourrez perdre votre sang-froid, pourtant vital pour ne pas vous laisser submerger par votre assaillant.
7) Les pressions sur les articulations
En cas de combat rapproché, votre assaillant peut parfois tenter d’attraper vos articulations (les joints reliant le coude au bras et ceux de l’arrière des genoux) afin de tirer dessus ou d’y appliquer une forte pression. Le but de cette manœuvre est de réduire votre mobilité afin de prendre l’avantage sur vous. Cela dit, cette technique requiert un minimum de connaissances sur l’anatomie du corps humain. Elle ne figure donc pas parmi les plus fréquentes, car soyons clairs, vos assaillants sortent rarement de Polytechnique !
8 ) Griffures et pincements
Là encore, voici des méthodes qui ne relèvent pas de la plus grande virilité, mais qui sont pourtant bien réelles et utilisées lors des agressions. Votre assaillant n’hésitera pas à torsader votre peau, la pincer ou même la griffer. Si la douleur n’est pas forcément comparable à celle infligée par un véritable coup, elle joue cependant sur les nerfs et vous laissera croire en la faiblesse de votre adversaire. Ce qui comme vous le savez est une erreur cruciale. Il ne faut jamais sous-estimer son agresseur, sous peine de se faire surprendre.
Ce fichier va vous apprendre comment vous pouvez vous défendre avec vos mains
Excusez moi pour les fautes et les phrases mal dites, ce texte est traduit de l’anglais.
Il a été rédigé par un grand champion d’Ultimate Fighting qui enseigne des techniques de combat de rue.Commençons par les choses basiques : Qu'est ce que vous devez faire et ne pas faire quant vous vous battez.
Plus tard, je vous donnerais une liste de 20 points vulnérables du corps humain.Position :La meilleure position n'est pas de face à l'ennemi mais de coté, perpendiculaire à l'ennemi, les bras devant vous et éventuellement les genoux légèrement fléchis.
Équilibre :Il est toujours important de garder l'équilibre. Si vous utilisez la position ci-dessus vous n'aurez jamais de problèmes.Si par malchance, vous perdez l’équilibre ne serais ce que d’une seconde, vous pouvez dire au-revoir ou plutôt adieu à votre vie.
Agressivité :Toujours être agressif et toujours attaquer. Ne pas juste rester debout et se défendre des coups ennemis vous ne pourrez pas arrêter tous les coups et vous vous trouverez rapidement en mauvaise posture.
Si vous n’êtes pas agressif, l’ennemi croira que vous avez peur et il aura très vite un avantage sur vous.La meilleure chose à faire est de gueuler sur l’ennemi. Cela va intérieurement lui faire croire que vous n’avez pas peur de lui donc lui prendra intérieurement peur (même s’il ne le montre pas) et au passage vous aurez plus d’air dans les poumons ce qui vous donnera d’avantage de punch.Armes Naturelles
Vos armes naturelles sont : le « tranchant » de vos mains, la paume de vos main, biens sur vous mains fermées, vos doigts jusqu’à la deuxième articulation, vos pieds, vos coudes, vos genoux, votre tête. Ceux sont vos armes les plus efficaces.
Les endroits les plus vulnérables :Les tempes :Un gros coup dans les tempes assure une mort immédiate car il y a une grosse artère et un gros centre nerveux juste en dessous. Un coup moyen engendre de violentes douleurs et éventuellement une commotion cérébrale alors qu’un gros coup entraîne une mort immédiate.Les yeux :Les yeux sont aussi un endroit très vulnérable.
Si vous pouvez caser un bon coup dans les yeux, votre adversaire sera temporairement ou définitivement aveugle. Pour cela faites un V avec votre quatrième doigt et votre second doigt (je trouve plus simple de faire un V avec le deuxième et le troisième mais le problème est que le troisième doigt est plus grand que le deuxième) et enfoncez les dans ses yeux en gardant vois doigts bien droits. Vous pouvez aussi le faire avec vos pouces.Le nez :Le nez est un autre endroit d’attaque excellent.
Un coup dans ce dernier peut engendrer des fractures, de vives douleurs, un aveuglement temporaire (effet voile noir : les étoiles devant les yeux) et éventuellement une mort. Pour vous défendre, le meilleur moyen est de frapper avec la paume de la main vers le haut. Si vous effectuez ceci avec assez de puissance, l’os du nez rentrera dans le cerveau causant une mort certaine.La lèvre du bas :Le lèvre du bas contient beaucoup de nerfs allant jusqu’à la surface de la peau.
Si vous frappez avec assez de puissance, vous provoquerez la aussi de grosses douleurs, pouvant aller jusqu’à l’évanouissement si vous y mettez assez de puissance.Bouche :Si l’ennemi est à terre, utilisez le talon de votre pied et frappez lui dans la bouche.
Comme il y a beaucoup d’artères et de veines dans les dents, il y aura beaucoup de sang qui pourrais effrayer l’ennemi. Il perdras alors de la concentration et ne défendras plus certaines parties de son corps.Menton :Ne pas donner de gros coups de poing dans le menton de l’ennemi, vous pouvez vous-y casser les doigts ; utilisez la paume de la main en donnant un très puissant coup en remontant. Ceci causera un inconfort extrême chez votre adversaire.Pomme d’Adam :Habituellement, votre ennemi défendra cette partie de son corps mais si vous en avez l’occasion donnez-y un puissant coup avec le tranchant de la main. Si vous réalisez ceci avec assez de puissance, vous casserez sa trachée etil mourra. Vous pouvez aussi serrer sa pomme d’Adam entre vos doigts : Si vous avez la chance de prendre prise sur son cou, pressez vos pousses dans son œsophage (placé en dessous de la pomme d’Adam).
Une forte poussée sera très douloureuse et bloquera l’oxygène allant dans ses poumons. Il mourra rapidement.Cou :Si vous donnez un coup violent à la base du cou avec la partie tranchante de votre main, vous le casserez. Si le coup n’est pas porté avec assez de puissance, l’ennemi perdra juste connaissance de façon à ce que vous puissiez lui asséner un coup dans les tempes ou lui casser le cou pour être sur qu’il mourra. Le cou est le meilleur endroit où frapper quelqu’un si vous voulez être tranquille et voir votre ennemi s’effondrer sans un mot.Clavicule :La clavicule est une partie extrêmement sensible. Un coup de poing ou un coup de tête violent entraîne une douleur atroce. Donc si vous enfoncez vos doigts dans la clavicule, vous pouvez faire tomber votre ennemi sur ses genoux.
Épaule :L’épaule est facilement et rapidement débitable. Saisissez le bras de votre adversaire et tirez le derrière son dos et d’un coup tirez le vers le haut. Vous entendrez peut être un craquement signifiant que vous lui avez déboîté l’épaule.Il y a d’autres méthodes mais celle-ci est la plus simple.
Aisselle Bien qu’il soit difficile de l’atteindre, les aisselles ont un large réseau de nerfs. Si l’ennemi est à terre, levez lui le bras et frappez lui dans l’aisselle. Ceci déclenchera une douleur assez forte. Il n’est pas très courant de frapper à cet endroit mais il est bon de l’avoir en tête au cas ou.Cage thoracique :Un coup dans la cage thoracique est très douloureux et peut casser des cotes.Plexus solaire :Situé derrière l’estomac, en bas de la cage thoracique à l’endroit où les deux dernières cotes se rejoignent en un V.Un coup cause de très fortes douleurs voir un évanouissement.Les cotes flottantes :Les cotes flottantes sont les deux dernières cotes situées sur le coté et devant le corps de votre ennemi. Utiliser la main ou le talon pour y asséner un coup qui provoquera une vive douleur ainsi qu’un étourdissement chez votre adversaire.
Colonne vertébrale :Un coup de talon dans la colonne vertébrale peut paralyser ou bloquer votre ennemi. Un coup moyen entre les reins de l’ennemi est le meilleur endroit, la dernière vertèbre se trouvant à cet endroit. Vous ne pourrez vous y attaque que lorsque votre adversaire est à terre ou qu’il vous tourne le dos.Les reins :Les reins ont deux larges nerfs qui se terminent à la surface de la peau. Si vous y assénez un coup violent, il mourra.Vous pouvez utiliser votre poing ou votre talon.Les testicules :Les testicules sont un bon endroit ou attaquer si vous avez de la chance. Généralement, votre ennemi protégera le plus cette zone mais si vous avez de la chance, donnez-y un coup de genoux ou de poing. Je suis sur que vous pouvez imaginer la douleur qu’éprouvera l’ennemi.Le coccyx :
Il est situé à la fin de l’anus et est aussi très sensible car il y a beaucoup de nerfs. Utilisez le talon pour y donner un coup. La douleur y est incroyable.Le coude :Le coude est facile à déboiter ou à fracturer. Attrapez les bras de l’ennemie et placez les derrière lui et avec la paume de vos mains tapez sur l’arrière de son coude jusqu’à ce que vous entendez un craquement. Quand l’ennemi ne peut se servir plus que d’un bras, vous aurez un grand avantage sur lui.Les doigts :Il est intéressant de casser les doigts de l’ennemi car avec des doigts cassés, il ne pourras plus se servir de ses mains et donc :vous donner de coups de poing, vous prendre un bras etc etc. Il suffit de casser les deux premiers doigts.
Tenez le bras de l’ennemi avec une main et avec l’autre poussez ses doigts vers le haut. Vous entendrez peut être un très léger craquement Les genoux :Vous pouvez détruire des genoux en donnant un coup latéral ; avec le coté de votre pied. Ceci détruira les ligaments et les cartilages. Ceci causera une douleur incroyable ainsi que l’impossibilité de bouger la jambe. L’ennemi sera lors immobilisé à terre ne pouvant se lever. Vous aurez alors un grand avantage sur lui.Les chevilles :Quand votre ennemi est à terre, donnez lui un coup sec et violent dans sa cheville. Il lui sera alors impossible de se relever et il sera d’autant plus facile pour vous de le tuer.Quelques trucs importants que vous devez vous souvenir quand vous aurez à vous battre contre quelqu’un. :
Toujours essayer de faire perdre l’équilibre à votre adversaire. Vous pouvez faire ceci en le chargeant ou en faisant semblant de le frapper. Si le charger simplement ne suffit pas pour le déséquilibrer, quand vous le chargez, avec vos bras attrapez le derrière du bas des cuisses (juste au dessus de l’arrière du genoux) et soulevez ses jambes. Il tombera alors en arrière. Attention cette méthode demandes beaucoup de puissance et vous pouvez vous faire mal au dos.Toujours être attentif aux failles de sa défense.
Si il laisse une zone vulnérable de son corps sans protection,l’attaquer de toute votre puissance à cet endroit. En faisant ça, il essayera par tous les moyens de protéger cette partie du corps et donc il découvrira d’autre parties de son corps.Utilisez n’importe quel objet que vous pouvez. En disant cela je veux dire jetez lui du sable dans les yeux, bloquez ses coups avec une branche large etc.
Jeu déloyal Dans une situation de vie ou de mort il n’y a pas de déloyauté ni de règles. Par exemple donner un coup dans les testicules est considéré comme une déloyauté ou une lâcheté au lycée, mais dans un combat à mort c’est un très bon chemin pour détruire votre ennemi. Pour faire simple frappez quand vous le pouvez et quand il est à terre. N’hésitez pas jetez vous dessus.
Croyez vous vraiment que votre adversaire attendra que vous retrouvez vos esprits et que vous vous relevez quand vous serez a terre ?
Il est bien plus probable qu’il ne vous saute dessus et qu’il vous achève.Ceci sont les bases de combat ainsi que les endroits les plus vulnérables du corps humain. Avoir lu ceci ne veut pas dire que vous pouvez descendre dans la rue et frapper quelqu’un.
Si ce texte vous plaît, et que vous voudriez essayer ces méthodes, trouvez un partenaire également intéressé et travaillez ensemble ces types de coups et de prises. Si vous le faites, allez y doucement et sachez que ces coups sont pour la plupart mortels et ne demandent pas tous énormément de force pour être efficaces donc portez les doucement sur votre partenaire.
D’autre part il n’est pas recommandé de porter les coups de genoux dans les testicules même légèrement, faites les dans le vide pour vous entraîner.